Microsoft brise les habitudes d’à peu près tout le monde dans le milieu en invitant l’équipe de Digital Foundry pour découvrir les entrailles de la Xbox Scorpio plusieurs mois avant la sortie de la machine.
Mon extrême franchise me pousse à vous avouer deux choses. D’abord, je n’y comprends pas grand chose dans les considérations techniques. Sorti du “plus le chiffre est grand, mieux ça doit être”, mon esprit divague dès que ça commence à parler de cadence de processeurs à transistors overclockés en full teraflops de GDRAM DDR4. Ensuite, je dois bien avouer que je m’en tamponne un peu. À condition qu’un jeu ne soit pas trop vilain et qu’il ne rame pas, ce qui est déjà le cas sur les supports de jeux actuels, je suis plutôt intéressé par l’expérience ludique livrée par la machine que par ce qu’elle a sous le capot. Je sais que l’architecture d’une console est nécessaire pour faire tourner les jeux, et que la puissance permet également d’ouvrir de nouveaux horizons pour les développeurs, mais au final, je m’intéresse plus à l’œuvre finale qu’au tramage de la toile ou à la viscosité de la peinture utilisée.
Tout cela pour dire que j’ai décidé de vous renvoyer directement vers les analystes de Digital Foundry qui dressent une fine analyse de ce qu’ils ont vu de la Xbox Scorpio. C’est tout en anglais, mais apparemment, ça a l’air bien.
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