FIFA 16 : Le renouveauTest JV

FIFA 16 : Le renouveau

Lorsque l’on met en chantier la vingt-deuxième déclinaison annuelle d’un jeu de foot (sans compter les itérations dédiées aux compétitions internationales), il est difficile d’innover suffisamment pour ne pas donner l’impression de vendre au prix fort une simple mise à jour des effectifs – sans parler de la perspective que les évolutions proposées ne plaisent pas et évoquent un retour en arrière (qui a dit FIFA 15 ?). EA Sports avait donc fort à faire pour convaincre les joueurs d’adopter la nouvelle cuvée de sa franchise phare, d’autant que cette fois, le studio n’a pas forcément cédé à la facilité.

Certaines mauvaises langues arguent qu’à l’instar de Windows, il faudrait idéalement n’acheter qu’une version sur deux de FIFA, la série alternant les bons et les mauvais crus afin de pouvoir mettre en valeur les améliorations apportées tous les deux ans. C’est un point de vue un tantinet exagéré, mais toujours est-il que le dernier volet en date, FIFA 15, a constitué une immense déception pour de nombreux joueurs. Très orienté arcade, avec notamment une vitesse de jeu excessive et une absence d’inertie favorisant les passes ping-pong (au détriment de la construction minutieuse des actions), cet épisode a fait la quasi-unanimité contre lui. Autant dire que FIFA 16 était attendu au tournant, de nombreux fans se disant prêts à passer chez le concurrent PES tant l’écart entre les deux franchises s’est resserré ces derniers années. Aujourd’hui, après un mois de pratique soutenue sur ses nombreux modes de jeux, nous pouvons avancer que FIFA 16 est un très bon jeu de foot, qui contient même en germe les prémisses de la vraie simulation next-gen qu’on attend depuis plusieurs années.

Le jeu de passes se montrera moins imprévisible si vous prenez la peine de construire.

Le jeu de passes se montrera moins imprévisible si vous prenez la peine de construire.

En effet, loin de repartir sur les bases de FIFA 14, qui avait été plutôt bien accueilli, les concepteurs ont préféré se retrousser les manches et emprunter une nouvelle direction, quitte à remettre en cause certains acquis. Ce qui marque dès les premières sessions de jeu, c’est la volonté perceptible de lâcher du lest par rapport à une caractéristique ancrée dans l’ADN de la série : la sur-assistance. Vous savez, ce maître d’œuvre invisible qui guide les passes les plus dégueulasses dans les pieds de vos équipiers, qui propulse centres et corners directement sur la tête de vos attaquants, et qui, plus largement, donne la sensation désagréable de vivre les mêmes phases de jeu tout au long du match. FIFA 16 remet ça en question en introduisant un facteur inédit : l’incertitude liée à la qualité d’exécution des gestes de base. Pour commencer, le jeu de passes est bien moins assisté qu’avant – et ce, par défaut. Au-delà de l’option traditionnelle de contrôle « full manuel », appréciable en solo mais contre-productive en ligne car peu usitée, EA Sports avait déjà creusé cette voie dès FIFA 11 en introduisant le pro-passing, consistant à imposer un enchaînement contrôle/passe pour s’assurer de la réussite d’une transmission. Cet aspect a été décuplé dans FIFA 16, où l’inertie importante des joueurs (qui se retournent bien moins vite que dans l’opus précédent) laisse une courte fenêtre qu’il faut mettre à profit pour jauger précisément la direction et la force de la passe. Voilà qui requiert un léger temps d’adaptation et un passage conseillé par les jeux techniques. En contrepartie, la construction devient plus intéressante : adieu les transmissions instantanées à 180°, les passes ping-pong et la progression vers l’avant trop rapide.

Un enfant s'est malencontreusement glissé dans cette capture. Saurez-vous le retrouver ?

Un enfant s’est malencontreusement glissé dans cette capture. Saurez-vous le retrouver ?

D’autant qu’EA Sports a couplé la refonte des passes à une nouvelle donne qu’il faut intégrer : le pressing défensif exercé par les lignes adverses, à la fois plus resserrées et moins attentistes. Cette pression constante sur le porteur du ballon contraint à une vigilance permanente, la proximité d’un adversaire augmentant, non seulement le risque d’interception, mais aussi – et la nouveauté est là – le risque d’une mauvaise exécution de la passe. Même un passeur d’exception, soumis au pressing de son vis-à-vis, est susceptible de manquer sa transmission. Ce point particulier fait déjà débat parmi les joueurs, certains ayant du mal à accepter que la passe qu’ils veulent effectuer à un instant t ne puisse être réalisée sans cette part d’incertitude que nous évoquions plus haut. Quoi qu’il en soit, ce parti-pris oblige à poser le jeu, à faire progresser patiemment l’ensemble du bloc-équipe, à utiliser le terrain dans sa largeur pour étirer les lignes et créer des espaces (les transversales sont plus utiles que jamais), mais aussi à se replier vers l’arrière au besoin. Bref, on évolue cette fois dans une vraie simulation, et la nécessité de construire patiemment n’en est que plus gratifiante lorsqu’on atteint la surface de réparation adverse autrement qu’avec un ballon piqué ou une passe en profondeur. Ces deux dernières armes, moins létales que de coutume, n’en conservent pas moins leur utilité, notamment pour ceux qui n’apprécient pas les longues phases de possession. FIFA 16 incite en effet à ne pas jouer constamment dans les pieds, afin d’échapper au pressing et de se projeter plus rapidement vers l’avant – au risque de couper l’équipe en deux et de manquer de soutien au moment de finaliser son action.

Les scores ont beau être plus serrés, le spectacle est toujours là. Les actions d'exception aussi.

Les scores ont beau être plus serrés, le spectacle est toujours là. Les actions d’exception aussi.

Les centres, moins assistés et plus difficiles à exécuter, suivent la même logique : les défenses adverses étant réactives, il faut réapprendre à les ajuster devant vos attaquants, souvent marqués à la culotte. Ajoutons à cela que les débordements ne sont plus aussi aisés étant donné qu’à niveau égal, un joueur court (enfin !) moins vite balle au pied que son poursuivant. Ce rééquilibrage, opéré dans tous les compartiments du jeu, contribue à évacuer ces actions « cheatées » contre lesquelles nous étions nombreux à pester. À côté de ça, EA Sports a savamment dosé les apports défensifs et les apports offensifs. Parmi ces derniers, mentionnons surtout la passe appuyée, qui permet d’éviter ce maudit temps de latence pendant lequel le coéquipier attend la balle (au risque de se la faire intercepter). Bien qu’elle rende le ballon plus difficile à contrôler, elle devrait faire des émules tant elle enrichit la palette des gestes possibles en fonction des situations. Quant aux dribbles sans ballon, ils raviront sans doute les amateurs de tours de passe-passe. Au rayon des apports défensifs, au-delà de ce fameux pressing plus appuyé, on retiendra la revalorisation du tacle glissé. Il gagne en amplitude, ne provoque pas forcément plus de fautes qu’une interception debout et permet désormais de se relever plus rapidement. Enfin, le rééquilibrage opéré tient aussi aux statistiques des joueurs, dont les écarts se révèlent moins déterminants qu’ils ne l’étaient depuis l’introduction du personality +. Toutefois, si la vitesse est un tantinet dévalorisée, le physique reste plus important que jamais, les contacts et les duels à l’épaule étant omniprésents. Et cette fois, l’Impact Engine fait son boulot en nous offrant une physique réaliste, exempte de bugs.

Les menus, qui avaient été refondus l'an passé, sont toujours aussi bien fichus.

Les menus, qui avaient été refondus l’an passé, sont toujours aussi bien fichus.

Une fois de plus, il n’y a que l’arbitrage qui ait du mal à intégrer ces oppositions physiques, avec sa propension à siffler au moindre contact dans la surface, y compris sur une intervention propre. L’autre sale manie de l’arbitre, c’est sa méconnaissance de la règle de l’avantage, jamais appliquée. De manière générale, ses coups de sifflet incessants, notamment en multi, hachent le jeu à l’excès et nuisent à la fluidité des parties. Mais c’est dans les 18 mètres que FIFA 16 révèle ses plus grosses imperfections. Les frappes ne sont pas en cause : soutenus par une physique de balle irréprochable, les tirs et les têtes se révèlent plus variés que par le passé. Mais le plaisir de bénéficier de situations moins scriptées dans la surface rend en contrepartie l’action plus chaotique : les contres et les déviations sont légion (il y a toujours une jambe qui traîne) et les gardiens ont trop tendance à repousser les ballons au lieu de les capter, quand ce ne sont pas les poteaux ou les transversales – au ratio ridiculement élevé – qui renvoient le cuir dans les pieds de l’adversaire. Globalement plus réactifs, les goals pêchent pourtant dans leurs sorties aériennes (par chance, les têtes ne rentrent pas aussi facilement que dans FIFA 14) et éprouvent toujours autant de difficultés sur les frappes enroulées, ce qui pousse les joueurs rencontrés en ligne à en abuser. C’est malgré tout contre l’IA qu’on se surprend le plus à pester, que ce soit parce qu’elle « triche » en exerçant un pressing bien plus efficace que le nôtre, ou parce qu’elle fait tourner le ballon dès la 75e minute quand elle mène par un but d’écart. Voilà une forme d’anti-jeu aussi lamentable que le tirage de maillot, même si ce dernier a au moins le « mérite » d’être sanctionnable par l’arbitre !

Bien que n'incluant aucune nouveauté, le mode Clubs Pro reste l'une des forces de FIFA.

En dépit de son absence de nouveauté, le mode Clubs Pro reste l’une des forces de FIFA.

Hormis ces quelque accrocs, il faut avouer que le gameplay de FIFA 16 est des plus convaincants. Comme toujours, il est épaulé par un contenu pléthorique, même si les différents modes de jeu ne regorgent pas de nouveautés. On passera rapidement sur l’intégration d’un « coach interactif », sous la forme d’indications s’affichant pendant les matchs autour du joueur contrôlé. Destinée à lui enseigner les possibilités de jeu en fonction des situations, cette aide contextuelle est assez malaisée à lire dans le feu de l’action, si bien qu’on conseillera plutôt aux novices d’en passer par les jeux techniques. La principale nouveauté tient donc plutôt à l’arrivée des équipes féminines, dans le cadre d’une compétition internationale opposant les 12 meilleures nations, dont bon nombre de joueuses ont été modélisées. Le gabarit des femmes les rendant moins physiques et moins puissantes (donc moins rapides) que les hommes, le jeu n’en est que plus propice à la construction, et sans doute encore plus agréable. Notons également, chez les messieurs cette fois, l’adjonction de la Bundesliga et la reconstitution de quelques nouveaux stades. Le mode Carrière n’évolue pas beaucoup. Les seuls apports sont la présence d’un tournoi de pré-saison, quelque peu anecdotique, et l’inclusion d’une option d’entraînement individuel qu’on aurait souhaitée plus aboutie. Elle permet de faire évoluer plus rapidement, au cours de la saison, les joueurs bénéficiant d’une bonne marge de progression. Limitée à cinq joueurs simultanés, cette option se voit logiquement bridée par le système de caractéristiques : impossible de développer le physique d’un joueur un peu chétif ou de travailler le jeu de tête d’un milieu de terrain – c’est dommage, mais on s’en accommodera.

Quand on pense qu'il n'a jamais reçu le Ballon d'Or... Comment ça cette légende est gratuite ?!

Quand on pense qu’il n’a jamais reçu le Ballon d’Or… Comment ça, cette légende est gratuite ?!

Le mode Ultimate Team, enfin, serait la copie carbone de l’année passée sans l’apparition de la fameuse option de draft, très attendue des inconditionnels de FUT. Elle donne l’occasion de se constituer une équipe en sélectionnant, pour chaque poste, un joueur parmi cinq tirés au hasard (dans la base des cartes de qualité rare ou supérieure). Cette formation éphémère devra affronter quatre adversaires consécutifs, en ligne ou contrôlés par l’IA, avec à la clé une récompense sous forme de packs, de plus en plus intéressante en fonction des paliers franchis. Hélas, le ticket d’entrée s’avère assez onéreux : il faut débourser 15000 crédits pour participer, une somme non négligeable et sans doute trop importante lorsque l’on débute (même si facilement remboursable par le gain de l’épreuve). Par « chance », EA Sports propose la possibilité de payer en FUT points – soit de l’argent réel. L’autre regret, c’est que la tactique fasse elle aussi l’objet d’un tirage aléatoire, un choix peu judicieux et parfois frustrant. Le draft reste tout de même une façon ludique d’essayer les meilleurs joueurs le temps d’un tournoi motivant. Au final, FIFA 16 s’enrichit de quelques fonctionnalités substantielles mais pas non plus transcendantes. La réalisation délivre une impression similaire, tant elle a peu bougé par rapport au dernier volet. En dépit d’une modélisation incomplète rendant peu heureux les visages des joueurs qui n’y ont pas droit, le titre reste plutôt joli visuellement. Pour autant, certains points demanderaient à être retravaillés. On pense à certaines animations peu naturelles, à l’ambiance sonore perfectible dans les stades, ou encore aux commentaires d’Hervé Mathoux et de Franck Sauzée, qui commencent sérieusement à sentir la naphtaline !

Signalons enfin que ce test a été effectué à partir d’une version PC identique en tous points aux moutures Xbox One et PS4 si l’on excepte sa fluidité supérieure et l’affichage instantané de ses menus, ainsi que certains détails comme l’absence des Légendes FUT (exclusives à la console de Microsoft). Quel que soit le support, FIFA 16 reste pour nous un très bon cru, mais seule sa réception positive incitera l’équipe d’EA Sports à continuer à œuvrer dans la direction d’un football plus exigeant et moins assisté. À ce niveau, rien n’est joué…

L'avis d'extralife
  1. Développeur : EA Sports
  2. Éditeur : Electronic Arts
  3. Genre : Sport
  4. Date de sortie : 24 septembre 2015
  5. Supports : Xbox One, PS4, PC
  • fifa_16_jaquetteOn n'espérait pas tant de cette cuvée de FIFA, qui prend le contrepied de l'opus précédent en troquant son gameplay arcade contre un système de jeu exigeant, moins assisté et rééquilibré dans tous ses compartiments. Seule une construction posée et minutieuse permet de venir à bout de ses défenses resserrées, de son pressing omniprésent et de l'accent mis sur les duels physiques au détriment de la vitesse. L'apparition des équipes féminines, du mode Draft FUT et de quelques fonctionnalités plus accessoires viennent enrichir un contenu déjà pléthorique. Seuls quelques défauts résiduels – pour certains irritants – empêchent FIFA 16 de s'imposer comme une référence incontournable, mais une chose est sûre : on tient le bon bout.
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7 commentaires

  1. ExtraLoose
    ExtraLoose
    24 octobre 2015 à 2 h 28 min

    Si certains peuvent m’éclairer, il y a une question que je me pose vraiment : à quoi joue les joueurs de Fifa?

    Je pense que passé un certain temps, on se lasse des compétitions, carrières et autres. Alors quoi? Le Online? Uniquement le Online?

    Je suis toujours surpris de me rendre compte dans plusieurs communauté la faible proportion de personnes qui jouent ENCORE ensemble, en multi “offline”, LE multijoueur. Les jeux de sports étaient à un moment un des derniers vestiges de ce multijoueur et il se cassait la gueule progressivement, je vous livre d’ailleurs mon Top 3 des putasseries d’EA là dessus :

    – Le Joueur 3 : avec son magnifique curseur vert Pelouse ♥
    – Le mode Fiesta : Pour faire comme PES avec son mode Communauté, EA l’a supprimé eux aussi. C’est con hein, un simple menu avec des petits profils locaux et des stats c’est vrai que c’est trop compliqué à faire (ou à garder même).
    – Le 2vs2 Online, ou 3VS3, ou 4VS4 online : aaaah il y a encore quelques années on pouvait aussi faire ça, s’allier avec un pote pour défier des gens en online. Aujourd’hui c’est réservé à FUT. Plutôt que… récupérer le jeu, cette année on s’était cotisé entre potes pour l’acheter, avoir les MAJ, et avoir ce Online hypothétique. En découvrant ça, on ne s’était pas trop posé la question, on s’est fait remboursé tout simplement, le jeu n’en vaut pas le coup.

    On aime bien les jeux de foot, mais eux visiblement ne nous aime pas trop :)

    1. jeviensdecreermonpseudo
      jeviensdecreermonpseudo
      26 octobre 2015 à 17 h 35 min

      Salut, pour répondre à ta question “à quoi joue les joueurs de Fifa?” au mode FUT donc multi oui. Pour autant, le multi peut être local et on peut toujours jouer en x vs x en ligne sans passer par FUT.

      Tout est loin d’être parfait mais tu as l’air d’être un peu à côté de la plaque ou alors j’ai mal compris ton message.

    2. ExtraLoose
      ExtraLoose
      28 octobre 2015 à 0 h 54 min

      Non mais FUT c’est bien et je comprends que ça plaise à certains, mais perso je veux jouer avec de vraies équipes et le concept ne me plait pas pour Fifa pour du Online.

      Sur FUT, tu peux en effet si tu as un pote chez toi lancer un 2vs2 Online. Sur FUT uniquement.

      Encore une fois, je ne gueule pas par principe hein, tous les points que j’ai relevé, comme le fait de pouvoir lancer rapidement un match normal avec un pote en coopératif contre d’autres gens sur internet, c’est des trucs qui existaient avant, et qui ne sont pas bien compliqué… regarde si le principe existe sur FUT pourquoi ne pas avoir permit juste des matchs amicaux online où tu peux rajouter un autre joueur local…

      Du coup entre amis, avant on s’éclatait bien là dessus ou encore sur le mode Fiesta (/communauté de PES), maintenant Fifa se résume pour nous à exclusivement des matchs amicaux entre nous de temps en temps. Alors soit c’est un choix de leur part que de s’en foutre des petites communautés locales de joueurs qui jouent régulièrement entre eux en soirées, et de profiter les affrontements online quasi exclusivement, le truc c’est que du coup moi perso dans la balance je ne vais clairement pas payer 60 euros un jeu où je n’ai que les matchs exhibitions qui m’intéressent.

    3. jeviensdecreermonpseudo
      jeviensdecreermonpseudo
      28 octobre 2015 à 11 h 44 min

      “mais perso je veux jouer avec de vraies équipes et le concept ne me plait pas pour Fifa pour du Online.”

      Il y a le mode saison …
      et si tu veux faire des matchs amicaux (en ligne toujours) et bien il y a un mode..

      “Sur FUT, tu peux en effet si tu as un pote chez toi lancer un 2vs2 Online. Sur FUT uniquement.”

      Non pas FUT uniquement.

      “regarde si le principe existe sur FUT pourquoi ne pas avoir permit juste des matchs amicaux online où tu peux rajouter un autre joueur local…”

      ça existe.

      “maintenant Fifa se résume pour nous à exclusivement des matchs amicaux entre nous de temps en temps.”

      Il n’y a pas que le mode FUT, comme il n’y a pas que le mode matchs amicaux ..

      En bref, il y a vraiment plusieurs modes pour plusieurs types de joueurs. J’ignore s’il y a d’autres modes dispos sur PES ? c’est vrai qu’il y a cette histoire du mode fiesta mais tu peux toujours créer un championnat perso donc c’est fort semblable..

      Cela dit, je joue sur PC. Peut-être qu’il y a des différences dans les modes dispos sur consoles je ne sais pas …

    4. ExtraLoose
      ExtraLoose
      28 octobre 2015 à 15 h 22 min

      J’ai essayé de trouver des infos sur ce que tu dis car nous avons fait le tour des modes online et rien trouvé (depuis on s’est fait remboursé le jeu et on… “attendra” un peu). Juste quand même pour être vraiment sûr que l’on parle de la même chose : je vais chez mon pote, je branche ma manette, on se met dans la même équipe pour jouer contre d’autres joueurs online. Je ne parle pas du tout de jouer chacun chez soit dans la même équipe hein, ça oui il y a pleins de modes dispo.

      Alors du coup ce que tu me dis c’est peut être la manip de rajouter un “invité”? Ce que j’ai lu dessus concernait des versions PS4 et il fallait apparemment un compte PSN même pour l’autre manette (?).

      Auparavant, tu lançais un simple match amical online, et tu pouvais directement choisir le nombre de joueurs, choix des équipes etc…

      Alors si j’ai raté une option “cachée” ok mea culpa, après vu que tu me certifie qu’il existe des modes que l’on a clairement pas vu en parcourant tous les modes online proposés (mode match amicaux multi local, non désolé il n’y a pas), je me pose quand même la question, non pas que ça me gène de te croire sur parole…

    5. jeviensdecreermonpseudo
      jeviensdecreermonpseudo
      28 octobre 2015 à 16 h 01 min

      “je vais chez mon pote, je branche ma manette, on se met dans la même équipe pour jouer contre d’autres joueurs online.”

      C’est bien ça MAIS après m’être renseigné auprès d’un amis jouant sur console, apparemment ce n’est pas possible sur console (à moins d’avoir 2 comptes “activés en ligne” effectivement). Chose possible sur PC donc je comprends mieux ton mécontentement …

  2. Alouxator
    Alouxator
    24 octobre 2015 à 20 h 24 min

    Je ne suis pas convaincu.

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