L’homme est un loup pour l’homme, et par extension, la femme est une louve pour la femme. Jamais l’adage n’aura été aussi vrai que dans ECHO où l’héroïne EN doit constamment faire face à des clones d’elles-mêmes qui lui veulent du mal.
ECHO n’est pas le premier titre à jouer avec la notion de clonage, mais ce genre de procédé est généralement mis à profit dans des puzzle-games où il est question de multiplier les doubles de soi-même pour franchir des épreuves réfléchies. On pense ainsi à echochrome, The Misadventures of P.B. Winterbottom ou encore Braid. Pour sa part, ECHO prend plutôt la tangente, et à la manière de Dark Link ou du Prince de Perse dans le miroir, considère le clone comme un danger pour l’héroïne.
Nous voici dans un palais capable de générer des clones dont le comportement dépendra directement de celui d’EN. Si vous jouer de manière furtive, les clones seront furtifs, si vous la jouer plutôt bourrin, les clones seront bourrins. Régulièrement, le palais reboote pour créer de nouveaux clones et réadapter leur comportement à ce que vous venez de faire depuis le précédent reboot. Le seul moment de répit sera entre chaque reboot puisque pendant ces instants plongés dans le noir, le palais ne vous pourra vous voir et ne pourra donc pas s’inspirer de votre façon de jouer. Ce sera alors le moment idéal pour sortir de vos gonds, faire le ménage ou progresser plus rapidement vers l’objectif s’il le faut.
Pas de date de sortie pour ECHO, un jeu confirmé uniquement sur PC pour le moment avec des sorties consoles probables.
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